L’Ecole du Ministère Internationale (EMI), l’oeuvre de l’apôtre Léopold Mutombo Kalombo du Ministère Amen, ouvre du 24 au 28 août ses portes pour la session unique de cette année.
Kinshasa, capitale de la RDC, brillera d’un éclat particulier et deviendra pendant quatre jours, la capitale mondiale de l’évangile.
Ce qui va se passer dans la capitale Congolaise, est un coup de maître.
Pareils événements venant d’un Africain ne se compte que du bout des doigts .
Quand on jette un coup d’oeil rapide sur la liste des serviteurs de Dieu de tous les continents déjà présents ou ayant annoncé leur arrivée, on réalise le poids évangélique de l’hôte de l’événement, à savoir, l’apôtre Léopold Mutombo Kalombo.
Des nations lointaines ainsi que celles réputées hostiles à l’évangile de Jésus Christ seront présentes à l’EMI.
La Colombie en Amérique du Sud et l’Inde en Asie à titre exemplatif, sont du nombre.
Ils ont accepté de poser leurs pieds dans un pays à la réputation sulfureuse.
Un pays où la guerre récurrente à l’Est n’est pas de nature à encourager les visiteurs.
C’est donc dans un pays dont on dit beaucoup de mal que va se tenir ce grand rassemblement des hommes de Dieu.
Ce n’est pas pour la première fois que l’EMI réunit du bon monde autour du patriarche Mutombo Kalombo.
En fait, c’est depuis 2017 que cette prestigieuse école sacerdotale est organisée.
Même au plus fort de la pandémie de la Covid-19, rien ne l’avait emporté sur la détermination des serviteurs de Dieu venant de loin comme de l’Équateur en Amérique du Sud de pouvoir goûter à la sauce concoctée, en octobre 2020, par l’homme à la langue brûlée par la braise sortie du Saint Autel.
Kinshasa n’est pas la seule ville à accueillir les assises de l’EMI. Nairobi au Kenya en 2017, Libreville en 2018 et Brazzville au Congo d’en face en 2018 et 2019 ont eu ce privilège.
Parmi les rares hommes de Dieu Africains à réussir presque régulièrement ce pari se trouvait le Nigerian Tibe Yoshua d’heureuse mémoire.
Pour le grand travail qui a bien vendu l’image du Nigeria, il a reçu beaucoup d’honneur et de privilèges de son pays.
Il était très respecté, visité et considéré quasiment comme le père qui devait être consulté par le sommet de l’Etat pour toute question délicate.
L’école du Ministère Internationale qui se tient désormais chaque année, au Ministère Amen à Kinshasa, porte très haut le flambeau de la RDC et rapporte désormais de l’argent à nos ambassades à travers l’octroi des visas.
L’éclat de cet événement qui attire de plus en plus de monde à Kinshasa prouve à suffisance que la RDC n’a pas que les minerais à donner.
Il y a plus que cela, voir mieux.
Nos immenses étendues de terres, notre hydrographie impresionnante, notre immense forêt et aujourd’hui, l’évangile prêché avec brio par des Congolais constituent des richesses sur lesquels il faut compter.
Si hier, la bonne nouvelle annoncée par des Congolais n’avait pas d’impact, ce n’est plus le cas aujourd’hui où un fils du pays peut attirer vers lui, les plus considérées.
Le pasteur Ricardo Rodriguez de la Colombie qui va animer avec l’apôtre Léopold Mutombo Kalombo, dès demain, cette session de l’EMI est l’un de ces oiseaux rares.
La session 2022 de l’Ecole du Ministère Internationale est en réalité, le couronnement de tant d’efforts fournis par le patriarche Mutombo Kalombo.
Ayant, d’abord tout jeune, ensuite aujourd’hui, visité la plupart des villes du Congo profond avec l’évangile (Katakokombe, Benadibele, Lodja, Sumbula, Mbujimayi, Tshikapa, Mushi, Feshi, Kiri, Inongo, Kamako, Boma, Moanda etc) l’apôtre Léopold Mutombo Kalombo qui a également parcouru le monde avec la bonne nouvelle du Royaume, avec à son actif l’érection du plus grand temple du Monde Francophone, ne peut que se réjouir de devenir le le porte étendard, mieux le flambeau de l’évangile de cet espace.
Ses paroles prophétiques d’il y a 30 ans: » Le monde entier est notre champs Misionnaire, Dieu n’a que nous pour assouvir la faim des milliards d’affamés de Christ, nous aurons une grande chaîne de télévision, nous bâtirons un grand temple à une toiture imposante etc » ne se sont-elles pas toutes accomplies sous nos yeux?
Peut-on lui interdire d’exprimer sa joie d’avoir prêché l’évangile jusqu’à l’Équateur, en Colombie et en Inde?
Non. Celui qu’on appelle le « Candelier », à cause de ses prédictions et enseignements pleins de révélations, à tout supplément élevé la barre très haut.
Pour cela, il mérite le soutien de ses fils, de ses pairs et de son pays.

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